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Trois C pour envisager l’avenir avec optimisme

Dans chaque crise se cachent des opportunités. L’orateur et business coach Bob Delbecque en est réellement convaincu. Il a même écrit un livre sur le sujet : « Crise/Chance ». Ce best-seller vous guide à travers une série d’enjeux cruciaux et vous aide à choisir entre « crise » ou « chance ». Tribu-te Magazine s’est entretenu avec Bob, un authentique optimiste débordant d’énergie, qui fait rire et réfléchir son public. Et n’en a-t-on pas tous un peu besoin ?

Dans un billet en trois parties, exclusif pour Tribu-te Magazine, il nous explique l’importance des 3 C : Collègue, Client et Coach. Aujourd’hui, il se penche sur le premier C, celui de Collègue.

Partie 1 : le C de Collègue

La grande question du moment est : comment survivre à cette période difficile en tant qu’entrepreneur ? Et autant vous en poser tout de suite une deuxième : la réalité détermine-t-elle vos idées ou vos idées déterminent-elles la réalité ? En d’autres termes : vous, et vous seul, êtes le maître de vos idées et c’est grâce à votre créativité et à l’efficacité de votre travail d’équipe que vous gardez la tête hors de l’eau.

J’aimerais ici souligner l’importance des 3 C : Collègue, Client et Coach. Commençons par le C de Collègue. Le plus important, en fait. Je vous entends déjà rétorquer : « C’est quand même le client, le plus important, non ?» D’accord, le client paye votre salaire. Mais des clients, il y en aura toujours.

S’il y a bien une leçon que nous devons retenir de la crise du coronavirus, c’est que nous allons devoir gérer autrement les membres de notre équipe. Et j’utilise ici délibérément le terme de « membre d’équipe » et non pas de « personnel », car votre équipe est un facteur de votre réussite, un rouage indispensable de la machine. Alors faites-en une priorité et posez-vous les questions suivantes :

• Que faire pour « lier » les meilleurs éléments de votre équipe à votre salon ?

• Comment impliquer vos collaborateurs ou collaboratrices dans vos processus de réflexion ?

Un stagiaire qui faisait sa première expérience dans un grand salon m’a un jour raconté : « Ce qui me donne confiance et me rassure, c’est que l’organisation est claire et qu’il y a des règles. Il y a par exemple un responsable pour l’accueil, un pour la coloration, un pour la propreté… »

Et en effet : pour les nouveaux collaborateurs, les règles servent de point de repère et les motivent.

Encore quelques conseils :

• Impliquez suffisamment vos collaborateurs dans la réflexion sur le développement de votre salon.

• Créez un climat de confiance et un environnement sûr, pour qu’ils puissent et osent s’exprimer.

• Faites aussi attention à ce qu’ils ne disent pas.

Je conclurais ce passage sur le premier C avec les mots d’Albert Einstein : N’essayez pas de devenir un homme qui a du succès. Essayez de devenir un homme qui a de la valeur.

 

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